Tous les parents veulent aider leurs enfants à réussir leurs études...
ils y parviennent plus ou moins bien....
Nous voulons tous que nos enfants aient le meilleur parcours scolaire possible, fassent de bonnes études et ainsi augmentent leurs chances d'avoir un métier qu'ils aiment et qui leur permette de vivre de leur travail.
La plupart des parents qui me contactent, viennent de recevoir un bulletin scolaire catastrophique, ou sortent d'un rendez-vous avec un enseignant pendant lequel, ils n'ont pas entendu que des compliments sur les performances de leur enfant.
Je me retrouve alors engagée dans une sorte de course contre la montre, où je dois concilier un objectif à court terme, empêcher le décrochage scolaire, et un autre moins immédiat mais plus durable: réconcilier l'enfant avec l'écrit.
Ce dernier objectif, apparait souvent aux parents comme accessoire et pourtant...
Les notes qui plongent ne sont qu'un symptôme d'un mal plus profond: l'enfant n'est pas armé pour suivre dans de bonnes conditions le programme scolaire.
La tâche est compliquée, parfois même très compliquée. Elle dépend de la motivation de l'enfant à surmonter ses difficultés, mais aussi de la capacité des parents à adopter une attitude positive. Ce dernier point est même crucial.
70% de mes élèves sont des pré-adolescents, et 8 sur 10 sont des garçons.
A ce stade de leur développement psychologique, ils sont naturellement enclins à s'opposer à leur parents. Vous comprenez dès lors, que le travail scolaire devient
un champ de bataille rêvé pour le jeune rebelle, ce qui est contre-productif.
Vous devez devenir les partenaires de votre enfant, au moins en ce qui concerne le travail scolaire. Soyez conscients du fait que, vous pouvez exiger de votre enfant qu'il reste dans sa chambre, et même qu'il reste assis à son bureau et le nez dans ses cahiers, mais vous ne pouvez pas entrer dans sa tête et l'obliger à étudier efficacement.
Cette bonne attitude, il faut l'avoir même quand tout va bien. C'est grâce à elle que vous serez efficaces si d'aventure des difficultés apparaissent.
Un simple "Tes devoirs sont faits?" le soir alors qu'on a le nez plongé dans réfrigérateur pour préparer le diner, ou qu'on est devant son ordinateur à répondre à ses mails, est insuffisant, même pour un enfant qui a de bons résultats scolaires. Pour un enfant qui, déjà au primaire, a des résultats moyens cela risque à moyen terme d'être dramatique.
Le temps des devoirs est un temps d'échanges.
Il existe des solutions, différentes selon la personnalité de l'enfant, son âge et la façon dont il vit ses difficultés à l'école.
Avant de vous laisser piéger dans un combat dont
tout le monde sortira perdant,
prenez conseil!
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Kalyn Hammaker (vendredi, 03 février 2017 14:59)
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